Nom: Miller. Enfin, pour ce que cela sert...
Prénom: Alexander. Mais j’répond aussi bien quand on m’appelle Alex’ ou même Al’. Bon, dans l’dernier cas, j’ai l’poing qui peut partir un peu vite. J’l’aime pas ce surnom d’merde.
Groupe: Tsss...J’suis étudiant. Bon gré, mal gré comme qui dirait !
ge: 19 piges : t’a un soucis avec ça ? Selon l’pays, j’suis majeur ou mineur : c’est drôle hein ?
Nationalité: Américain. Je suis né, et j’ai grandit dans cette putain de Las Vegas...Ville de putes va.
Un métier en dehors des études ?: Bartender, ou Barman si tu préfères. Faut qu’je prenne sur moi pour parler sans l’accent des rues quand j’le fait...mais c’est grisant comme job. Cela fait passer l’temps.
Date de mort: 05/07/2000. Bordel, j’aurais pas trop profité de ce funcking 21ème Siècle d’mon cul !
Ton sexe et orientation avant ta mort: Mec et j’aime pas les mecs, ni les tarlouzes. Quoi ? J’suis un hétéro moi d’abord...La bite, ça m’fait pas bander merde !
Des petits détails ?: T’a des yeux ? Si oui, regarde par toi-même. Ok...J’ai plein d’piercing, et un tatouage dans l’dos. J’ai aussi un oeil chelou, c’est un faux en fait. Un oeil d’verre. Je suis borgne depuis belle lurette. Mon oeil rouge ? Il était marron d’mon vivant, j’comprends pas trop ce changement mais on fait avec.

Autant commencer par l’plus chiant : mon “caractère”. Non mais sérieux, ça va vous servir à quoi c’te merde ? J’suis un type qui déteste, mais vraiment déteste, qu’on l’prenne pour un con. Qu’on m’regarde de haut. Non, c’est moi qui t’regarde de haut d’abord.
J’ai gardé de ma “vie” le fait d’aimer qu’on suive mes ordres. J’aime aussi les poitrines bien rebondi au fait...Mais j’crois que j’ai des envies d’meurtres dans ce monde d’merde ! Pas une paire d’boobs à l’horizon...sauf en 2D. Tsss…
Je ne suis pas de ces types qui mente pour vous manipuler, moi j’assume ce qu’je pense et qui je suis. Je vous parl’rai sans détour, quitte à vous foutre mon poing dans la gueule. J’suis assez direct et impulsif comme type t’vois l’genre ?

Après, je suis un type de Las Vegas mec ! Forcément, j’aime l’alcool, la baise, la drogue, et l’jeu ! Les bringues : mais chez les autres. Chez moi, j’supporte pas une miette de travers alors j’risquerai d’défoncer des gueules.
Quoi ? Si j’me la raconte ? Peut-être...Rien à branler de ton avis d’toute façon. Oui, j’suis l’genre de mec qu’à pas des tonnes d’amis, mais ça m’va. Mieux vaut être seul que mal accompagner, j’ai grandit dans cette ambiance : elle me convient. Je ne cherche pas à faire “copain-copain” : je suis pas une de ces tafioles qu’on encule.

Je t’fais pitié ? Ben, j’m’en fou comme de ma première taf mec ! T’es pas mon frère, certainement pas mon parent. Alors, ce que tu penses, tu peux te le carrer où le soleil, il ne brille jamais ! Si je sais ne plus être un p’tain d’p’tit con vulgaire ? Travailler mon accent me saoule, mais oui mon bon seigneur : je peux vous parler avec le langage le plus raffiné de votre misérable existence d’honnête mouton de la société. Je suis qui je suis, peu m’importe le regard ou les avis des autres. Je ne pense qu’à moi, et alors ? C’est le prix de la liberté : la vraie.

Enfin, file moi un bédo t’veux. Ah...Y’a rien mieux qu’une bonne taf de fumée pourrie pour se détendre. J’en étais où moi sinon : ah oui, ma gueule.
J’suis un mec “strange”. Une chevelure rousse naturelle que j’ai bousillé au colorant rouge dans l’monde des vivants. Étrangement, ici, je suis naturellement “rougeoyant”. C’est zarbe, mais ça me déplaît pas.
Quand je vivais, j’avais souvent un cache-oeil de merde, et l’oeil restant d’un marron presque noir. Ici...ben, ma plaie était bien faites c’est con hein ? Suffisamment bien pour qu’je m’fasse mettre un oeil de verre. J’l’ai pas voulu comme mon “normal” : j’voulais déranger, perturber. Comme mes piercings, ou mon tatouage d’oni jap’ qui faisait classe. Alors, j’ai un oeil d’verre chelou. J’mesure combien ? 1m70 pour 55Kg : j’suis pas loin d’la maigreur je sais mais m’fais pas chier. C’est d’la musculature nerveuse sans un pet de gras que j’ai. Et puis, j’t’emmerde. C’est pas dans ce monde de mes couilles que je pourrais me laisser mater volontiers d’abord !

Ah...J’en ai vraiment marre. On me passe un cupcake là. Ouais, thanks. Hein ? J’ai le droit de manger pour dix d’abord ! Non, j’ai pas de ver dans l’bide. Juste, ben, j’prends pas d’poids. L’monde l’est injuste : tu l’savais pas ? J’pourrais dire quoi d’plus ? Mes fringues ? J’varie...J’aime les styles un peu punk ou metal mais pas que. J’peux aussi m’contenter d’un truc plus classique. Et puis, j’l’aime bien mon univers de bartender aussi. Non, là-dessus, j’suis frivole. Mélanger des couleurs ou rester dans l’sombre. Mélanger les styles, j’m’éclate c’est le seul truc qui m’importe. Le reste, j’m’en fous. Tu m’laisses en paix maintenant ?

Ma life ? Non mais, vous êtes sérieux ? Vous voulez vraiment connaître ma vie d’merde ?!
Ok, commençons par l’début vous voulez. Ma connase de mère m’a mit au monde dans un des hostos de Vegas. Jusque là, rien d’anormal. Elle avait dû quitter son taf en tombant enceinte de moi, mais comme mon vioc avait un taf correct, avec même une mutuelle : cela gérait dans leur p’tit appart moelleux. Assez pour qu’ils veuillent me garder : concrétisation de leur amour au combien puant.
Mais voilà, j’suis un porteur d’merde moi ! Et quant j’ai voulu sortir, avant l’heure prévue, ma mère fut gentiment transporté suite à un appel aux secours de la voisine ! Mon père, à son travail, partit rapidement : et ben il s’est fait fauché le con. Alors qu’il prenait son p’tit vélo, une bagnole l’a renversé : avec délit de fuite j’vous dirais même.

L’vioc est mort, le jour où j’suis né. Et ma mère l’a sut après qu’je sois sorti d’son corps. Et ben, autant vous dire que le plus beau jour de sa vie, outre d’être douloureux pour m’avoir évacuer et qu’ils aient foiré l’envoi de péniscilline...ça a été le puit archi-violent vers la décadence.
Ma génitrice, elle avait pas d’familles, et en fille de la campagne...on peut dire qu’elle avait qu’une jolie gueule et un beau corps pour elle.
Moi, elle me haïssait. J’ressemblais à mon rouquin d’paternel. J’avais les mêmes yeux qu’lui. D’ailleurs, c’est cette salope qui m’a crevait l’oeil ! Avec un putain de crayon à oeil pour femme là, ces “eyeliners”. Mais j’y reviendrais.

J’ai pas eu d’pot au tirage dés ma naissance. Détestait comme la cause de la mort d’mon père. Ne le connaissant pas. J’aurais put finir en simple gamin battu par sa maman qui vendait son corps pour pas vivre trop-trop dans la misère, mais j’l’ai dit : j’suis pas une tarlouze moi.
Ma mère a trouvé un Mac, et taffé pour lui. Lorsqu’il a pensé m’utiliser d’la même façon, il a bien compris qu’j’étais pas un p’tit chien docile qui dresse la queue sur commande, ou qu’aime qu’on la lui mette profonde. Ce fut douloureux, un brin sanglant...Et bordel que j’ai dû tout nettoyer après. Tant de crase, rah, j’en ai d’l’urticaire.

J’étais même pas encore ado’, que j’voulais plus m’laisser faire après tout. J’voyais plus ma mère que comme une connasse sans honneur, prête à tout pour sa dose. Et moi, vu ma verve, le fait d’l’avoir cogné d’vant son mac lorsqu’elle avait pensé me diriger...ben, j’fus entraîné sur la pente glissante des dessous de Vegas.
Lente descente en Enfer ? Mon cul te salue ! Je suis né en Enfer, j’faisais qu’en comprendre les règles. L’école ? Bah, pour l’peu que j’y allais. Le Mac payait l’dirlo : avec ma mère en monnaie d’toute façon.


Mais, juste avoir une grande gueule ça suffit pas à être dans l’p’tit papier d’un mafieux d’merde. Faut être utile. Et un gosse, on s’en méfie moins...Alors, on m’a appris à tuer. Cela m’faisait ni chaud, ni froid. D’plus, l’fait que j’sois un gros maniaque aidé à maquiller les scènes de crimes. A côté d’ça, j’travaillais dans un des bars de l’enfoiré qui dictait ma life.
Si j’ai eu un casier pour possession et usage d’drogues, vol, et bagarre et tout...on m’a jamais gaulé pour meurtre. Bon, j’ai quand même dû faire une année, d’mes 16 à mes 17 ans : en prison pour mineur. P’tain, que des mecs...l’horreur suprême ! J’devais rester moins si j’me tenais à carreau, mais j’ai péter quelques dents à des cons à main baladeuse. J’crois qu’mon dégoût des tafioles datent de cette époque...les gars, comment qu’ils s’assument trop pas quoi ! J’suis un connard à mes heures : oui...mais j’suis qui j’suis quoi !

Sorti d’là...bah, j’l’ai rencontré. Une fille qui me tenait tête. Une fille que j’ai agressé au final. Une fille qui m’a aussi surpris à tuer. Mais cette conne, plutôt que d’se démonter : elle a cherché à m’comprendre et à m’tirer de toutes les merdes dans lesquels je baignais.
Petit à petit, avec elle...J’étais plus, la losse d’le dire….mais “tendre” ? J’avais pas à être sur la défensif, agressif. J’étais moins “solitaire” car avec elle. Cela a duré quelques mois : avant que le mac ne la fasse descendre car elle m’éloignait de l’emprise de son groupe. Faut dire qu’il était devenu mon tuteur légal : ma mère ayant clamsé par overdose avant mes 15 ans.

Il l’a buté, le gros connard de mes couilles. J’pouvais pas l’accepter quand j’l’ai sût...alors, j’ai commencé à m’venger. Finalement, j’l’ai eut ! Mon canon d’flingue dans sa gueule, j’ai tiré. Et j’me suis fait descendre par les flics. Faut dire que j’avais sortit le flingue en pleine rue...devant un des casinos de bas étage de Vegas. Je l’avais fait me supplier le connard ! J’avais obtenu ce que je voulais : et je suis mort avec le sourire aux lèvres. Je rigolais en toussant du sang, alors que la douleur de la balle dans le coeur me laissait aucun doute...j’l’avais vengé, et ma vie d’merde avec. C’était moi l’gagnant !

Et j’me suis réveillé, l’année dernière donc, sur cette place de cette ville d’merde sans putain de nom de sa race ! Vu mon âge, 18 ans à ce moment là, ben j’fus inscrit en tant qu’Etudiant. Mais surtout, j’ai découvert que tous l’monde, sauf les animaux quoi, étaient devenus des putains d’mecs !!! Mais, ils sont où les boobs !
J’vous dit pas, cette première année, les dessins pornos, les hentai donc, et ma main gauche (je suis gaucher oui !) j’les ai usé ! Non mais sérieux, qui a fumé la moquette ?! Franchement, j’aimerai trouvé l’moyen d’quitter ce monde, sans clamser. Car si j’suis vainqueur, la douleur d’une balle dans l’coeur : pas deux fois quoi. Et puis, en fait, j’sais plus où j’en suis. Tout l’monde ici, ils puent le “trop bon, trop con”. Et puis, ils couchent quasiment tous sans soucis merde ! Non, vraiment, j’peux pas.

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Pseudonyme: Lou
Comment avez-vous connu ce forum: Par votre demande de partenariat sur mon propre fofo ^^
Autre chose ?: Comme dit dans mes questions sur Alex, il a l’air assez sympa pour me permettre de souffler en tant que “simple joueur” et non plus comme staffien !