Ton corps était chaud comparé à la température extérieur. Il faisait froid, vachement froid en fait. Tu criais, tes yeux encore ensevelis de liquide. Tu avais mal, tu avais froid et tu ne comprenais pas pourquoi ta mère, la personne qui t'avais donner naissance ne t'avais pas encore pris dans ses bras. Le cordon ombilical coupé, tu n'entendis que des bruits de pas s’éloigner de ton corps frêle alors que tu criais comme jamais, bon ce n'était pas difficile de crier plus fort que tu ne l'avais fait puisque tu n'étais âgé que de quelques minutes. Enfin, tu criais pour faire remarquer ta présence avant d'entendre à nouveau des bruits de pas et des voix.
- Oh mon dieu! Qui a-t-il pu oser faire ça à son propre enfant!? Chéri, on devrais l'amener aux religieuses.
Des mains aimantes vinrent se poser sur ton frêle corps et te transporta vers une maison où ses dernières te nettoyèrent et vinrent te reporter chez quelqu'un d'autre.
- Mon prêtre, nous avons trouvé ce jeune garçon, près d'une poubelle dans une ruelle... Je vous prie de le prendre, ce pauvre gamin n'a pas eu de ch-...
- Jeanne, vous n'avez toujours pas d'enfant, pas vrai? Pourquoi ne pas l'élever vous-même avec votre mari comme si c'était le votre?
- Mais nous ne sommes pas préparer à ça...
- Ce garçon n'était pas préparé à se faire abandonner non plus. Il sera mieux dans une famille avec un couple aimant que dans un pensionnat de dieu qui n'a plus de place disponible pour lui.
Tu ouvris enfin tes yeux d'un bleu éclatant, touchant probablement le cœur de la dame qui hocha la tête t'apportant chez elle et ne quittant plus ton regard. Cette femme t'appela Claude, Claude Black et elle t'aimas jusqu'à son dernier souffle.
Jusqu'à ce qu'elle crève, ce qui ne dura pas longtemps. Tu étais un être sensiblement joyeux, laissant tout de même tes émotions prendre le dessus par moment sous les regard peu approbateur de ton père, mais celui idolâtré de ta mère. Tu avais huit ans quand l'armée du roi kidnappa ta mère pour aucune raison, sous les yeux de ton père qui tenta de récupérer ta bien-aimée mère qui criait et pleurait, jusqu'à ce qu'un coup de trop le fasse tomber et saigner de la tête... Il était inconscient et toi, tu te tenais là, observant la scène de manière complètement horrifié alors que les gens du parc chuchotaient des choses déplaisantes sur ta mère comme quoi elle était une putain. Pourtant.... Lorsque Ton père et toi rentrèrent, aidé par un homme un peu plus gentil qui soigna ton paternel, alors que ton, tu tremblais comme une feuille.
- Approche Claude...
Tu allas voir ton père qui semblait mourant, mais qui ne l'était pas, juste très mal en point.
- Oui père?
- Ta mère ne reviendra pas... Le roi a probablement ordonner son exécution...
- M-mais pourquoi? Mère a toujours été juste elle... C'est injuste!
- Jeanne a refusé les avances du roi... Le roi n'a pas apprécié cet affront... Le pouvoir rend les gens mauvais... N'en veut pas à ta mère...
Tu n'en voulais pas à ta mère, pourquoi lui en voudrais-tu, non, le méchant dans l'histoire était le roi et il allait le payer. Cette journée de tes huit ans était bien triste, car tu trouvas ton but dans la vie et ce dernier était la vengeance.
Tu étais devenu un adulte, 18 ans, un joli jeune homme aux yeux bleus et marrons. Le sourire ne semblait jamais quitter tes lèvres alors que ton air joueur et innocent prenait le dessus. Tu semblais être un être qui appréciait énormément la vie, autant que tes traits physique ne semblait pas déplaire à qui que ce soit. La gente féminine était souvent près de toi alors que tu discutaient avec elle, jusqu'au jour où la personne que tu avais ciblé, Mireille, fut capté par ton caractère amusant. Tu lui souris alors qu'elle semblait réceptive. À cette époque, tu travaillais à transporter le matériel de plusieurs boutiques pour aider ton père qui n'était plus apte à marcher correctement.
Mireille devint le centre d'attention de ta vie rapidement. Elle était jolie, sa peau si douce, ses manières de nobles ne trompait personne. Elle te dit qu'elle l'appréciait parce qu'il n'avait pas de préjuger envers les noble et qu'elle te percevait comme étant quelqu'un qui n'avait pas besoin d'elle économiquement. Tu lui répondis que tu étais amoureux d'elle dès la première seconde où tu avais croisé son regard si magnifique et elle tomba sous ton charme. Trois mois plus tard, tu lui demandas sa main et elle accepta, car à cette époque, il était rare que les gens attendent longtemps avant de se marier dû à l'Église qui désirait ardemment que la population grandissent rapidement. Tu déménagea avec elle, dans une grande maison où tu pus abriter ton paternel et où il pouvait recevoir un peu plus d'attention.
Mireille et toi partit dans la ville d'à côté pour consumer votre mariage, pour lui prouver à quel point tu étais amoureux d'elle et après deux semaines, la vie repris son cours normal pour toi. Travaillant d'arrache-pied pour obtenir de l'argent, mais te faisant des contacts dans la noblesse en douce pour que quelques années plus tard, l'on te propose une place dans le palais du roi. Lorsque tu appris la nouvelle, tu te précipita vers ta femme pour lui annoncer, embrassant l'enfant dans son ventre. Pourtant, la jeune femme ne semblait pas tout à fait ravie, mais plutôt inquiète de la situation.
- Ton père m'a raconté pour... Ta mère... Tu crois que c'est une bonne idée d'aller là-bas? Tu ne garde pas de regrets?
Oh, si elle savait... Un joli sourire s'afficha sur tes lèvres alors que tu lui embrassas le front et lui caressa ses longs cheveux dorés.
- C'est du passé ça et le roi devait probablement avoir une bonne raison d'avoir fait ça... N'oublions pas qu'il est l'être le plus près de dieu. Je ne crois pas que quelqu'un pourrait faire quelque chose d'aussi égoïste pour une simple question d'orgueil... Et ce n'est pas seulement travailler pour le roi, mais pour nous aussi, pour lui et pour tous les autres qui vont suivre.
La sincérité n'avait jamais eu lieu entre elle et toi, mais elle était heureuse d'entendre ses paroles qui semblaient si touchante mais qui en réalité ne l'était aucunement. Elle t'enlaça et te dit d'être prudent, hochant joyeusement la tête et lui embrassant le front. Tu ne promettais jamais. De toute manière elle n'était qu'un pion parmi tant d'autre pour ta vengeance et elle t'aimait, portant même ton enfant... cet enfant qu'elle élèvera seul puisque tu savais très bien que tu allais mourir suite à cette trahison mais tu t'en fichais un peu.
Cela faisait un an que tu travaillais comme serveur pour le roi, t'occupant de ta femme et de ton enfant appelé Jack une fois le soir arrivé. Jack était mignon, mais il ne ressemblait en rien à ton père ou ta mère, ce qui te troubla un peu. Il était tout de même magnifique comme enfant et il apprenait rapidement.
Tu avais commencé à te lié avec le roi, qui te confia plusieurs secrets alors que tu lui apportait de la soupe. Tu parlais joyeusement avec lui, mais ce dernier commençait à tomber malade. Le pauvre ne pouvais plus sortir de son lit et après trois mois, il parlais des regrets qu'il avait.
- Il y avait cette femme... Elle était si belle... Mais elle était marié et m'a repoussé... Je regrette mes agissement Claude... Sous le coup de la colère je l'ai envoyé pourrir en prison et elle est décédée peu de temps après... Ça ne fait pas de moi un homme mauvais, si?
Il termina la soupe que tu lui avais offert et tu lui pris la main doucement.
- Vous avez seulement gâcher la vie d'un gamin de huit ans et d'un mari qui l'aimait plus que tout. Nous nous reverrons en enfer.
Il large sourire se dessina sur ton visage, un vrai sourire d'amusement alors que tu regarda le roi s'étouffer et bafouiller. La dernière dose avait été fatale et c'est après quelques temps qu'il alla voir les autres, les larmes aux yeux pour annoncer la mort du roi.
Ce fut un jour tragique pour cette petite île qui dit adieu à son roi, mais un jour heureux dans le cœur de l'homme de 20 ans qui manifesta sa joie à la maison et enlaça son petit Jack avant d'aller voir sa femme.
Tu continuas à vivre ce rêve qui n'était pas le tien, ayant plus que Jack à ton actif mais aussi Astana et Jeanne en l'honneur de ta mère. Ton défunt père décéda peu après la descente du roi et emporta dans sa tombe le malheureux secret de cette maladie soudaine du roi.
Malheureusement, ce ne fut pas très long que tu tombas à ton tour malade, six mois ont été suffisant pour permettre ta mort, mais un peu avant que tu rendes ton dernier souffle, ta bien-aimée vint t'apporter à manger, les larmes aux yeux.
- Dis... Pourquoi tu m'empoisonnes?
- Je ne veux pas qu'ils grandissent avec un meurtrier et un manipulateur...
- Je vois, dis-tu en lui souriant, je ne voulais pas mettre fin à ma propre vie pour que tu ne sois pas seule avec ces gamins, mais si tu me dis que tu t'en sortiras, alors je n'ai plus rien à faire ici. Adieu Mireille.
Tu terminas le dernier bol de soupe préparé avec amour avant de fermé les yeux, entendant les pleures de cette femme que tu n'as jamais aimé.
Tu te réveillas dans un endroit magnifique, t'asseyant un peu sur l'eau, tu regardas les étoiles et plongeas tes mains dans l'eau. Tu ne savais pas combien de temps avait passé, mais tu te sentais bien et tu aurais pu rester là à tout jamais, mais une force te tira vers un autre endroit qui ressemblait à la terre mais en plus sympa. Il y avait des... Tu recula un peu. C'était des machins lumineux qui n'était pas du feux? Tu regardas un peu partout et un homme vint te voir pour te donner un appartement, petit mais vivable durant un mois le temps que tu comprennes un peu ce qui t'arrivait et que tu te trouves un emploie plus ou moins rapidement. Tu marchais en regardant le technologie de manière ébahie alors que tu vis aussi les hommes passés, les hommes, des hommes, encore des hommes.
- Dites monsieur, demandas-tu à un passant, où sont les femmes?
Cet homme rigola et te tapota l'épaule de manière amicale.
- Il y en a pas mon petit, ici même les femmes d'autrefois deviennent des hommes.
Tu fus légèrement surpris, mais ton instinct d'adaptation prédominait sur le reste. Tu te trouva rapidement un emploie comme serveur et bien que tes habits de travail se résumait à un très mince sous-vêtements, cela payait bien et tu te faisais énormément de pourboire.
Tu étais hétéro, hein? Bah plus après ta deuxième semaine passé dans ce monde, ta libido était trop active, tu ne pus t'empêcher de te perdre dans le cheveux du cuisinier, lui griffant le dos et t'insultant de manière sexy lors de l'acte. Déjà, il t'avait peloté les fesses la première semaine alors que tu faisais la fermeture avec lui, mais à ta deuxième fermeture, il t'avais coincé contre la vitre du magasin et t'avait clairement fait comprendre ce qui se passerait si tu acceptais sa proposition de venir chez lui, ton corps ayant déjà choisit pour toi.
C'était probablement l'expérience la plus excitante que tu avais vécu au cours de ta vie, arrivant tout de même en deuxième place, la première étant celle où tu avais réussis à assassiné le roi. Les gémissements se faisait un peu trop entendre, alors que ta libido était plus qu'active. Cette expérience ne te fit pas découvrir l'amour, mais plutôt que l'acte pouvait être agréable.
Cet homme s'alluma une cigarette par la suite et te la tendit. Tu la pris et lui sourit avant de fumer un peu et la lui rendre.
- Il est commun que deux hommes passe à l'acte ici?
- Bah on est juste des hommes et ce tabou, y'a que des idiots qui l'ont encore.
- Je vois...
- Si tu veux, je peux t'apprendre à cuisiner en échange qu'on tu sois à moi durant au moins la durée de ton entraînement.
Tu avais réfléchi un moment avant de répondre, sachant très bien que ça n'allait pas être très sympa, mais tu te dis que tu allais avoir la chance de faire quelque chose de fou au moins une fois et que si ça allait trop loin, tu ne ferais que partir. Tu acceptas donc joyeusement, lui mordillant le cou et renfilant des boxers :
- Mais je veux avoir un avant goût de tes cours avant~
Tu souris et il te montra donc un peu, te faisant couper des légumes d'une manière à ce qu'ils soient plus ou moins pareil.
- Spoiler:
Les uniformes avaient un peu changer, ayant droit à un petit short serré noir et un chandail serré en cuir qui se terminait en haut du nombril. Tu marchais d'une manière un peu étrange alors que les clients attendaient après leur commandes. Ça n'avait pas été facile de terminé la journée et surtout caché cette grosse bosse avec si peu de vêtement.
Pourtant, tu y étais arrivé, verrouillant la porte et laissant enfin à tes jambes un peu de repos, celles-ci tremblotaient telles des feuilles au vent. Les bruits de pas s'avançaient vers toi, te relevant et t'encastrant contre la porte vitrée. Sa respiration se faisait entendre au creux de ton oreille alors que sa voix si séduisante vint te chuchoter quelques mots alors qu'il baissa ton short.
- Voyons voir ce qu'on a là.
Il retira le jouet vibrant à l'intérieur de toi sous tes gémissements. Puis, il te retourna pour jouer avec ton membre incapable de jouir dû à plusieurs machin sur ce dernier et sur tes bourses. Tu respira fortement, excité par tout ceci mais aussi par l'attente de ce qui allait ce passé, car depuis un moment, depuis que tu étais devenu son jouet, les imprévues dominaient le cours de ta vie, toi, qui calculait toujours tout à la perfection, n'était au courant de rien à son sujet.
- Je pars en voyage, je ne reviendrai pas, ou du moins pas avant longtemps.Si tu acceptes le reste, je te céderai ma place de cuisinier ici, sinon, tu devras te trouver un job ailleurs. Alors change toi et embarque dans la voiture stationné dans le parking, il t'amènera dans un joli endroit. Je te promet que tu ne mourra pas et que tu aura tout tes membres à la fin.
Tu hochas la tête avant qu'il t'enlève ses jouets sexuels, te faisant jouir. Tu nettoya de petit dégât avant d'aller te changer et te diriger vers cette voiture un peu trop chic à ton goût. Tu hésitas un moment, te posant la question sur ce que tu n'avais pas encore fait. Tu te dis que ça ne pouvais pas être pire que la fois où il t'avait étrangler, ou les nombreuses fois que tu étais tombé inconscient du à une rupture du colon. Tu allas dans la voiture pour voir un chauffeur silencieux. Ne posant pas de question comme tu avais si bien appris avec lui, tu te dirigea vers un manoir. Une fois arrivé, tu en compris les intentions, mais tu ne te croyais pas prêt à ça. Tu tentas de rebrousser chemin, mais une main pris fermement ton poignet et t'amena dans une pièce où un matelas et des caméras étaient installés. L'homme en qui tu faisait confiance était présent et assis sur une chaise, une cigarette à la main, te regardant droit dans les yeux.
- Vous pouvez y aller les gens.
Tu serras les dents alors que la camera commença à tourner et que l'homme vachement plus grand et plus musclé que toi te plaqua contre le lit, retirant ton chandail et jouant des hanches, te faisant malheureusement légèrement gémir. Plusieurs personnes vinrent s'ajouter, ton boulot étant de t'occuper de chacun d'eux de manière la plus efficace possible. Cela dura plusieurs heures et à la fin l'on te donna qu'une mince compensation alors qu'il s'approcha de toi et te tendit sa cigarette. Tu la terminas et soupiras.
- Et bien. J'aurais probablement dû faire la même chose avec ma femme pour lui montrer où était sa place... ça m'aurait peut-être évité de mourir empoisonné....
Il rigola et t'embrassa doucement sur les lèvre.
- Au revoir Claude.
Tu restas un moment couché dans ce lit gluant, te demandant si ces six derniers mois n'était qu'un triste rêve. Tu rigolas légèrement, les larmes coulant sans que tu ne puisses les contrôler. Tu finis par retourner dans ton appartement, honteux, les larmes ne cessant d'apparaître dû à toutes ces émotions qui t'atteignit, toi. Tu étais honteux, mais heureux de pouvoir enfin ressentir quelque chose d'autre ce de la douleur et du plaisir. C'était ça la tristesse et le désespoir....
Tu cuisinais désormais pour ce bar, créant de nouvelles assiettes magnifiques. L'élève ayant dépassé le maître en très peu de temps. Tu en avais marre de rester dans ce bar et tu changeas d'endroit, jusqu'à rencontrer de nouveau Mireille une fois, cette dernière étant la dernière cliente avant la fermeture. Tu fus surpris de la voir dans cette apparence, ses attraits féminins n'était plus du tout présent.
- Alors, comment tu es morte?
- Dans un incendie... Provoqué par notre fils Jack... Y'a que moi qui était décédée. Il a toujours eu cette folie probablement des gênes de son père.
Tu souris et la regarda.
- Je ne t'ai pas tué moi, je t'ai utilisé pour venger ma chère mère... Pas pour que mes enfants ne soient pas élevé par un potentiel sociopathe, hein.
- Bah maintenant ils n'en n'ont plus du tout.
Elle rigola légèrement et vous discutiez on long moment avant de partir. Cette ancienne femme semblait un peu plus sereine avec elle même, ce qui réchauffa un peu ton cœur de pierre.
Enfin, tu voyageas, travaillant dans plusieurs restaurant avant de croisé un homme dans la cinquantaine qui te ressemblait étrangement. Il te fixa et tu fis de même, un peu surpris. Puis, il recula, effrayé et partit. Tu le suivis et lui empoigna le bras :
- Pourquoi on se ressemble? T'es mon père ou ma mère peut-être?
- Tu es né dans les années 1724?
- Ouais.
- Tu.... dois être le fœtus que j'ai foutu dans les poubelles cette année là.... N-ne me fait pas de mal...
Tu serras les dents et le regarda.
- T'as foutu ton enfant dans les putain de poubelles?
- Comprends moi un peu, j'étais une prostituée... C'était mon job et un jour je suis tombé enceinte... et bah tu sais comment les gens peuvent être horrible à cette époque... Je ne t'aurais pas abandonné si ce connard m'aurais donner un peu d'argent pour toi mon petit Ryusuke....
Tu plissas les yeux et le regarda froidement.
- Mon nom est Claude, pas Ryusuke...
Tu soupiras et le relâcha.
- On ne peut pas... En parler un peu... J'aimerais savoir comment.... tu es arrivé ici si... jeune mais si vieux aussi....
Un autre regard froid se fit avant que tu ne lui sourit joyeusement.
- Baaaah, j'ai été élevé jusqu'à l'âge de huit ans par des parents aimant jusqu'à ce que le roi décide de tuer ma mère et j'ai passé le reste de ma vie à manipuler les gens pour arriver à tuer le roi, ce que j'ai fait et ensuite ma femme m'a tuer parce qu'elle ne voulait pas d'un assassin pour élevé ses enfants. Pourtant, elle semble foutrement incompétente puisqu'elle s'est fait brûler par son propre fils, notre premier.
Il semblerait que tu l'ais troublé, mais elle s'efforçant de te donner un câlin alors que ta simple envie était de la torturer.
- Je peux être présente maintenant, si tu veux. Je me sens si coupable....
Cette derrière pleurait et tu ne pus que lui caresser les cheveux, devenant soudainement très gentil.
- Ça va c'est du passé mais ne pleure pas...
Tu n'allais tout de même pas perdre cette occasion de la briser comme on l'avait fait avec toi. Tu la pris dans tes bras et lui posa quelque questions sur elle, son passé, sa vie présentement. Puis tu commenças par lui prendre ses amis, la montant indirectement contre elle, mais prenant sa défense pour qu'elle ne sache pas que tu étais l'auteur de tout ça, puis, tu la fis virer de son job, puis tu t'occupas de son copain du moment, le faisant devenir fou après quelques temps passé seul à seul avec lui. Ce dernier avait quitté la ville horrifiée. Cette dame qui se disait ta mère revint te voir en pleurant, te racontant tout ses malheurs, sans parlé de toutes les rumeurs qui circulaient à son sujet un peu partout.
- Au moins je t'ai toi...
Tu rigolas en la repoussant froidement.
- Tu m'as abandonné, «mère», et tu crois que je vais te pardonner pour ça parce que tu es ma génitrice? Tu t'es débarrassé du mauvais fils chérie. J'ai probablement les gênes du diable qui coulent dans mes veines, du moins c'est ce que tu risques de pensé pour l'éternité, car peut importe où tu iras, tu seras toujours malheureuse, surtout si tu te tiens près de moi, ça ce sera une souffrance mentale, car je n'ai pas D'intérêt à te blesser physiquement, car je désire te détruire totalement. Alors au revoir très chère, et bonne vie ici.
Tu partis ainsi alors qu'elle avait tout perdu, cette dernière ayant été volé par son mari avant qu'il ne parte. Tu partis tout de même en adoptant Ryusuke comme ton deuxième prénom. Tu partis te faire un nom en tant que cuisinier pour attirer l'attention de cette personne qui ne se manifesta jamais. Pourtant, tu te trouvas un stagiaire qui subit la même chose que tu avais subit il y a déjà longtemps. Ton corps appréciait pourtant moins dominer, mais ton esprit appréciait être en contrôle de tout.
Un homme dans la quarantaine vint te voir un jour pour te proposer d'enseigner à des élèves en cuisine, mais pour cela tu te devait de faire un bac en enseignement, ce que tu fis avant de rejoindre cette école, lui donnant un charme de plus autant physiquement qu'au niveau de la renommé. Tu vins donc pour enseigner la cuisine à ces jeunes, n'y allant pourtant pas de main morte et à ta manière surtout.