Date de naissance: 09/10/1993
Groupe: Personnel
Âge: 23 ans (22 quand il est mort)
Nationalité: Allemand / Français
Date de mort: 19/06/2016
Ton sexe et orientation avant ta mort: Homme / Pansexuel
Des petits détails ?: Allergique aux chats.

Siegfried est toujours soigné. Il ne sortira rarement de chez lui sans avoir pris soin de son image. Une habitude restée gravée en lui. Se sentir beau est un réconfort chez lui.
Généralement, sa tenue est sobre mais classe, toujours un costard cravate. Comme un bureaucrate, mais il n'est pas à l'aise dans les jeans et t-shirts, ayant toujours été habitué à ce genre de style. Cependant, les week-end, il supporte et apprécie l'idée de porter une tenue de sport.
On remarque souvent chez lui son cache-oeil. Sa mort lui a provoqué des problèmes dans son oeil, l'empêchant de fonctionner correctement tout le temps. Il préfère éviter l'effort et cache donc son oeil sous un cache-oeil. C'est assez désagréable de voir un oeil rester fixe tandis que l'autre non.
On peut aussi noter un très bon entretien de son corps, musclé et mais pas trop.

Siegfried est un égoïste. Quand il a quelque chose pour lui, il le garde.
Mais il ne le montrera jamais. En permanence, il a cette aura brillante, un sourire sur son visage. Le cliché idéal de l'homme heureux et parfait dans sa vie. Une dure façade qu'il porte très souvent, pour se protéger des autres, en les mettant à l'écart.

Il a peur de ses sentiments.
Sa première relation, ayant échoué, il préfère passer à autre chose, mais son coeur ne veut pas.

S'il se confie à vous, c'est qu'il vous apprécie. Vous savez que vous êtes n'importe qui à ses yeux, quand il gardera sa parfaite façade.
Et si vous tombez dans la seconde catégorie, en pensant qu'il est sincèrement votre ami, vous vous trompez, et vous apprêtez à faire une grave erreur. Siegfried aime beaucoup manipuler les gens, si c'est pour obtenir ce qu'il veut, sans se tâcher les mains.

Losing was never an option.

Tel était le motto de Siegfried Rosenburg.
Il est né fils de. Une grande responsabilité qu'il venait d'acquérir en étant né dans cette famille, était déjà tombée sur ses frêles épaules de bébé. Celle de représenter les représenter.
Son enfance n'aura été qu'un apprentissage. Contrairement aux autres enfants, Siegfried travaillait déjà dur, avec quelques années déjà en avance par rapport à la normale. Parce que les Rosenburg s'élevaient de la normale.

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Il n'allait même pas à l'école. La première fois où il a côtoyé une personne de son âge, était quand une de ses nourrices amenait son fils avec elle, lorsqu'il n'avait pas école. Lorsqu'il l'a rencontré, Siegfried n'avait aucune idée que les enfants de son âge étaient aussi… ignares. Mais son père lui ayant toujours appris à donner une image positive de lui, il se présenta correctement. Et pour la première fois, il apprit que tout ce qu'il faisait, n'allait pas se passait comme il le pensait.
Ce garçon, qui s'appelait Aleksei, le sortit de sa zone de confort. Ce garçon ne t'obéissait pas du doigt et à l'oeil, comme tous les autres le faisaient. Lui, en faisait qu'à sa tête, pensant à explorer le manoir comme s'il était en aventure.
Mais Siegfried ne lui a jamais dit non. Parce que mine de rien, il adorait se balader pour rien, sans but.

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- Tu as l'air d'être plus heureux, il s'est passé quelque chose de bien Siegfried ?

L'enfant sourit, et commença à raconter à table, à sa mère qu'il s'était fait un ami.
A la table à manger, il n'y avait que sa mère, pour une grande table de 12 personnes. Mais ils étaient à côté. Siegfried était très proche de sa mère. Il lui racontait tout, car elle le détendait, tandis que son père le poussait à la perfection.

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Arrivé au collège, Siegfried perdit son seul ami. Son père trouva sa relation avec Aleksei, et renvoya sa mère, l'interdisant de revenir, et contacter son fils.
Ses parents avaient divorcés peu de temps après. Sa mère perdit la garde de Siegfried, n'ayant pas l'armée d'avocat de son ancien mari. Et malgré que Siegfried voulait rester avec sa mère, il ne le lui dit jamais.
Siegfried porta à partir de ce jour, une haine particulière à son père. Et voulait se venger. De lui avoir enlevé ses deux personnes les plus chères à son coeur.

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Siegfried avait dépassé toutes les attentes de son père, et les avait même dépassées. Il avait sacrifié son adolescence, pour arriver à ce résultat.
A peine diplômé, Siegfried avait déjà créé une chaîne de café, position qu'il avait gagné avec le temps, en ayant commencé en gagnant un local de son père.
On pouvait compter plusieurs victoires à son compte. Gagner, il n'avait fait que ça depuis.

Maintenant, il devait battre complètement son père, pour le détrôner, et le venger. Seigfried avait le plan parfait.

Mais il n'avait pas pris en compte ce qu'il avait déjà considéré comme perdu.

Aleksei était revenu dans sa vie. Déboulant comme si de rien était, recherchant un poste dans un des cafés. Siegfried ne l'avait pas reconnu, c'était en voyant son CV, qu'il le reconnu, mais fit comme si de rien n'était.
Siegfried s'en voulait encore de ne pas avoir réussi à convaincre son père de ne pas renvoyer sa mère.
Faisant comme de rien n'était, il fit passer un test, que Aleksei passa haut la main.
Siegfried, aux émotions mitigées, se résolut à lui laisser la place libre de barista.

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Le temps passa, et tous deux se parlèrent comme avant. Comme si rien ne s'était passé. Aleksei le reconnut enfin, après trois mois, et Siegfried préféra prioriser sa nouvelle relation, que d'avancer son plan.
Petit à petit, sa haine se dissipa, préférant passer du temps avec son nouvel amant Aleksei. Leur relation était réciproque, et totalement saine. Un rêve parfait.

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Qui s'interrompit aussi vite qu'arrivé.

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Un suicide amoureux disent-ils.

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Sa mort, c'était à cause de son père, il en était sûr.

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Depuis que Siegfried est arrivé, dans ce "monde", il a tenté de chercher Aleksei. Mais, déjà, fallait-il encore qu'il soit là.

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Un an qu'il errait, pour le chercher. En vain. Il décida de se poser, pour l'instant.
Siegfried, sans but, tenta de faire passer le temps, en utilisant ses competences. Il décida donc de passer un entretien dans une école, pour enseigner sa langue natale ; l'allemand. Et malgré que l'entretien s'était merveilleusement bien passé, il lui fallait tout de même un diplôme.
En attendant d'obtenir son diplôme, on lui proposa d'être surveillant ; offre qu'il accepta avec plaisir.
Siegfried envisagea d'ouvrir un café, mais y penser lui rappelait Aleksei, et il ne préférait pas s'en rappeler. Il voulait effacer cette partie de sa mémoire, comme ça, il n'aurait plus à gérer ces sentiments conflictuels.

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