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Camillio H. Lloyld - Le karma? C'est des foutaises! [terminée]

Claude R. Black
Messages : 43
Date de naissance : 16/07/1996
Date d'inscription : 25/06/2016
Age : 27





Claude R. Black
Professeur de cuisine - Escorte
Sam 25 Juin - 19:51




Camillio Happy Lloyld


feat. Dantalion (makai ouji: devil and realist)


Identité


Date de naissance: 07/01/1996
Groupe: Etudiant
UN MÉTIER EN DEHORS DES ÉTUDES ?: Écrivain~
Âge:19 ans
Nationalité: Britannique
Date de mort: 12/03/2016
Ton sexe et orientation avant ta mort: Masculin - Homosexuel
Des petits détails ?: Ses parents sont fous

Personnalité & Physique


« Il est charmant, charismatique ce mec, beau grand, même un peu musclé, c'est bien ça. Il mesure quoi, 1 m 80? C'est génial ça, sa musculature n'est pas terriblement développé, mais quand il est sans chandail, on peut voir ce V que fait les hanche, ainsi que des lignes fines qui tracent son ventre. Ses épaules sont par trop large, mais il a de grandes mains.... Et de grand pieds. »

- Passant dans le rue.

« Son visage, wow, il est fin mais tout de même masculin, c'est magnifique. Mais ce qui l'ait encore plus ce sont ses yeux, rouges, il est p'têtre mort d'une manière violente pour avoir ces yeux, j'aurais dû mourir comme lui alors. Vous dites que j'exagère? Soit vous ne l'avez pas vu, soit vous êtes aveugle. Ses oreilles sont pointues, comme des elfes! Me dites pas que vous ne trouvez pas ça cool! Il les a percé en plus! Trois piercings, sur son oreilles droites et une sur le lobe de la gauche. »

- Groupie?

« ouais, bah ses goûts vestimentaires sont à chier. J'veux dire, il se prend pour Dracula ou quoi? Non mais les manteaux rouge-brun déjà.... mais avec des genre d'épaulettes en plus? T'es plus dans les années 80. Pis c'est quoi ces fils noirs dans son cou, pour se faire étrangler plus facilement? Puis ses chandails toujours bizarre. Le seuls trucs potable dans son style sont  ses souliers, noirs, neutres... »

- B... Personne critique....

**

Tu es un homme respectable, gentil, loyale.... Tu es doté d'une bonne écoute et tu ne parles pas trop, préférant écrire que parler. Tu adores écrire, c'est ta passion, ton âme, sans l'écriture, ta vie n'aurait aucun sens - sans lui elle n'en n'a beaucoup moins, mais tu sais qu'il va revenir. Tu attaches facilement de l'importance aux choses, ce qui te rend facilement déçu, triste, mais la violence n'est pas dans ton vocabulaire, étant un être beaucoup trop pacifiste pour son propre bien. Tu n'aimes pas créer de la violence, des discordes, mais tu détestes en voir, parfois préférant te sacrifier pour la cause que de voir quelqu'un souffrir. Ton manque à ce niveau n'est pas lier par la peur d'avoir mal, car tu considère que tu as déjà eut assez mal ainsi pour qu'une autre chose ne t'atteigne vraiment.

Têtue, tu es du genre à ne jamais lâcher le morceau, que cela prenne une minute ou des années, tu es tout simplement incapable de lâcher prise, c'est justement ça qui t'a coûté la vie.

Tu t'éloignes rapidement des gens qui ne semblent que vouloir tes jolies fesses rebondies, n'étant pas contre le fait de coucher avec quelqu'un, mais tu préfères avoir une connexion spirituelle pour ne pas te faire abuser, et justement, ne pas accentué tes traumatismes qui s'oublient quelques instants, mais qui réapparaissent toujours, surtout quand tu es seul ou quand tu essaies un peu trop de dormir.

Histoire


La vie, le karma, ce sont tous les deux des foutaises et vous le savez très bien, beaucoup trop bien même. Vous en avez bien profité, de cette fausseté que vous n'arrêtiez pas de répété partout autour de vous, mentir à tous ceux que vous étiez supposé aimé et tout cela pour quoi, pour tout simplement bien paraître et cacher à tous la cruauté dont vous avez fait preuve jusqu'à maintenant. Cette lettre dévoilera tous les secrets de la jolie famille Lloyld, famille qui n'en a jamais vraiment été une....

Les larmes commençaient à couler le longs de tes joues alors que la rage te faisait trembler. Tu le savais que ce n'était pas normal, car tout ce qui l'était, ils le faisaient paraître et t'empêchaient toujours d'en dire trop. C'était tout simplement invivable et tu n'en pouvais tout simplement plus, ne pouvant même pas te rappeler d'un bon moment hors caméra.

La famille Loyld était un peu comme n'importe quelle famille de grandes vedettes, en ayant plusieurs dans la famille. Il y avait d'abord Joshua, grand acteur, joli, jeune, souriant, ton père, puis, ta mère Rose, grande chanteuse pop qui avait une ancienne carrière de mannequin, ta sœur Amanda, danseuse professionnelle, une des rare qui à pu percé dans ce métier, Billy, qui n'était pas très doué dans les arts, mais plutôt génial au soccer... et toi, le petit dernier qui avait toujours eu un talent pour l'écriture, ce qui avait toujours semblé une délivrance durant les moments les plus douloureux de ta vie. Tu étais le plus jeune et malheureusement, le martyre de la famille, ta mère ayant voulu une deuxième fille alors que ton père n'avait jamais voulu de toi et autre qu'à la télévision, tu n'étais tout simplement pas son fils et ton frère.... La seule qui ne voulait pas ta mort était ta sœur qui se foutait tout simplement de toi, sa famille n'ayant tout simplement aucune importance à ses yeux et tu la comprenais.... Après tout ce qu'elle avait dû subir probablement.... La première fille de parents disjonctés, ça n'a pas dû être facile pour elle.

Tout d'abord, je tiens à préciser une chose, ce n'était pas dû au fait que mes parents s'inquiétait pour ma sécurité qu'ils m'ont enfermer durant tout mon enfance à la maison, m'enseignant ainsi, non, c'était juste pour que je ne dise à personne ce que je voyais, ce que je vivais déjà à un si jeune âge...

À tes trois ans déjà, tu avais vu ta mère avec un autre homme que ton père, son amant qui semblait pas du genre à lui dire des '' je t'aime'', mais plutôt à lui dire des insultes et utiliser des objets un peu trop troublant pour les yeux innocents d'un enfants de cet âge. Rose ne fit que te crier de partir, ce que tu fis, apeuré, horrifié. Elle était venu un peu plus tard pour te pincer fortement la joue à t'en faire pleurer pour que tu promettes de ne rien dire à personne, surtout pas à ton père qui n'était de toute façon pas présent.

Ma mère ramenait et ramène encore des amants régulièrement et semble avoir des goûts particuliers, tournant, à mes souvenirs, au BDSM, mais bon, outre quelques gifles et quelques coups de pieds dans le ventre, elle ne m'avait jamais rien fait, et j'avais mériter certaines de ces punitions.... Au moins elle ne soulageait pas sa libido grandissante avec ses enfants.

À cinq ans, ton frère semblait se foutre un peu que tu essayais d'écrire en lettre attachée, lui n'ayant jamais vraiment compris à quoi servait les études, ayant probablement eu trop de commotions cérébrales pour comprendre quoi que ce soit. Il t'obligea à être le gardien de but pour qu'il se pratique... probablement un moyen bidon pour apprendre à viser une cible et tout simplement te faire mal et te faire courir. Cette journée là, tu eus presque la même blessure au cerveau que ton frère, mais heureusement, tu t'en sortis qu'un peu traumatiser.

À tes six ans, tu apparus pour la première fois à la télévision, les journalistes voulant te demander si ton père était un super bon père, mais comme l'on dit, les enfants disent toujours la vérité, et bien cette dernière faillit sortir, voulant dire que ton père n'était juste pas souvent présent, mais ce dernier reporta l'attention sur lui comme il savait si bien le faire, te regardant avec un air de tendresse de d'amour.... C'était un bon acteur et sa meilleure scène fut probablement à ce moment, car une fois à la maison, il te brisa une côte tant il était en colère. La douleur, était si minime comparer à ce qui t'arriva plus tard.

Ma sœur, elle était rarement à la maison, mais quand elle y était, les coups de poings se faisaient entendre jusqu'au troisième étage alors qu'elle menaçait Joshua de tout raconter au média s'il la frappait, ce dernier se vengeait sur les murs, ou sur ce pauvre Billy qui avait déjà des problèmes dû à son sport, il en avait pas besoin de plus. Amanda, elle, quand elle arrivait à la maison, c'était toujours avec une réserve d'alcool et de substances illicites pour l'année. C'était un moyen de se soulager de cette famille de cinglé. Ouais, ma sœur était droguée, mais elle ne dérangeait jamais personne, mais notre cher père et notre chère mère lui faisait la vie dure pour les apparences, car si quelqu'un apprenait ça, leurs carrières allaient décliner drastiquement selon eux, mais ce n'était pas cela qui allait mettre en péril leur carrière, un petit joint, ça la calmait des coups qu'ils lui apposaient, des petits-amis toujours violents qu'ils lui obligeaient d'avoir, des remords d'avoir avorter tellement de fois dû à l'abus des ces copains qu'elle ne pouvait tout simplement plus regarder dans les yeux. Cette bouteille de vodka lui permettait de ne pas prendre d’antidépresseur qui allait à coup sûr la tuer si elle était en charge d'un paquet, allant les prendre probablement tous en même temps pour se laisser tomber et aller vers un monde meilleur. Cette petite pilule quelle prenait de temps en temps la calmait durant ses crise de larmes incontrôlable, puisque se couper n'était pas une option lorsque l'on était danseur et que les gens préférait qu'elle dévoile le plus de peau possible parfois. Du haut de mes six ans, je comprenais déjà qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas dans cette famille, que ce n'était pas normal. J'essayais de la consoler, elle me serrait dans ses bras en me disant de ne jamais toucher à ces choses, que je pouvais contrôler mes émotions moi-même et que je ne devais pas tomber dans ce cercle vicieux, les seules moments plaisant avec Amanda avant qu'elle ne devienne cette personne froide et sans aucune personnalité comme nos parents aimaient. Des gens qu'ils pouvaient manipuler à leur guise, leur implanter de fausses idées, de fausses opinions et même de faux souvenirs, ça ils adoraient ça et j'étais probablement leur marionnette qu'ils avaient le plus de misère à contrôler, non pas parce que j'étais têtu, mais tout simplement parce que je ne comprenais pas pourquoi je devais mentir, puisque nous étions supposé être la famille parfaite selon tous les journaux.

Ce fut à tes huit ans que tu commenças à voir vraiment ce qu'il y avait de malsain, alors que tu vis ton père regarder des gamins de ton âge sur un site internet alors que tout le monde était parti sauf toi, encore, qui était cloîtré dans cette maison immense. Tu t'étais dit qu'il voulait magasiner un nouvel enfant, un genre de site d'adoption pour des orphelins, mais ce fut lorsque tu vis des images troublantes avec ces enfants, ton père semblant adorer ça, ou du moins le témoignant d'une manière que tu n'avais pas encore appris, c'était à ce moment que tout changea vraiment. Tu reculas, mais tu heurtas la table qui se déplaça, signalant à ton père de ta présence. Tu te souviendras toujours de ce sourire malicieux et inquiétant, de ce petit signe d'approche alors qu'il te posa sur ses jambes, écartant les tiennes et te montrant ces images troublantes et dégoûtantes avant de.... que la main de ton père ne te donne du plaisir....

Il avait dire que c'était ça l'amour, l'affection et tout ces synonymes. Demande à un enfant de huit ans qui n'est jamais vraiment sortie du cadre familial ( dans une famille aussi étrange que la mienne) ce qu'est de l'abus? Heureusement, je m'en suis rendu compte il y a quelques années j'ai eu de la chance en quelque sorte... mais je sais très bien que je ne m'en sortirai pas, car ces ignobles créatures sont tellement blindées de frics qu'ils risquent de soudoyer tous les putains de juge, ou engager le meilleur avocat qui dira aux autre qu'il y a une manque de preuves. Je ne crois pas qu'Amanda voudra participer à ça et je la comprend, mais je ferai mon possible pour qu'au moins, ça fasse scandale.

À neuf ans, l'on t'interviewa avec ton père, sa main sur ton dos et un sourire au lèvre alors que tu semblais un peu apeuré, ce que les autres ne savaient pas c'était le fait que ce n'était pas les caméras et les gens qui te posait tous pleins de questions qui t'effrayaient, mais la simple présence de ton père à tes côtés. La vieille, il était venu pour la première fois dans ta chambre et t'avait fait mal.... affreusement mal!

- Alors Camillio, tu aimes ton père?

Tu figeas un peu en le regardant, son regard approbateur t'encouragea à dire la vérité.

- J'aime mon père... mais.... il m'aime encore plus.... Le....véritable amour fait mal par contre...

Ton père rigola et lui caressa les cheveux, ceci ayant toujours été un signe pour que tu te taises, ce que tu fis tout de suite.

- Il viens juste de se faire rejeter par une petite fille, alors il est un peu triste.

Personne ne prend en compte les enfants, jamais et.... tout le monde à un prix, c'est ce que j'ai compris dans cette vie misérable

À 11 ans, tu fus apte à te promener avec ton oncle qui semblait avoir le même problème que son frère, à croire que c'était de famille. Vous aviez été magasiner un cellulaire et un ordinateur portable, vous êtes aller dans un parc où tu t'amusas réellement pour la première fois, échangeant vos numéros et souriant lorsque ce membre de ta famille te ramena chez lui, tes parents n'étant pas là pour un mois. Un mois où se mélangeait douleur et plaisir, ce dernier faisant beaucoup plus mal que ton père, ayant les mêmes penchant que les amants de ta mère, mais te laissant acheter tout ce que tu voulais et te laissant socialiser avec les autres enfants, ce qui ne t'avait jamais été permis.

- C'est notre secret à tous les deux... D'accord...?

Tu hochas la tête, étant heureux tout de même d'avoir pu échanger des numéro avec des enfants de ton âge et avoir pu t'amuser un peu avec eux. Lorsque ton père vint le chercher, il demanda à son oncle pourquoi tu avais plusieurs blessures sur le corps et il lui avait mentionner que tu avais couru après un lapin et que les branches d'arbre t'avait éraflé un peu partout. Tu ne fis que hocher la tête en souriant, apportant tout les objets magnifiques que ton oncle t'avait donnés.

Vous savez, sans ça, je serais probablement encore dépourvu de tout moyen de communication. Sans lui, je n'aurais pas continuer à parler à ce gamin qui était d'une logique incontournable, ce gamin qui n'avait pas peur de me bousculer, mais toujours gentiment, de me dire tout ce qui clochait chez moi, de me faire réaliser à quelle point j'avais l'air d'une marionnette incapable de penser par moi-même. Sans mon oncle, je n'aurais jamais découvert cette personne qui était devenu le pilier de ma tête, de ma confiance, de mon esprit. Je suis désolé, Caym, de te laisser seul... mais... tu le sais aussi bien que moi... que c'est ce que je dois faire... On se rejoindra un jour, ça, je le sais...même si tu en doutes.

Tu souris un peu à cette pensée, l'imaginant déjà rager sur le fait qu'il n'y a pas de paradis ou  d'enfer... Tu l'imaginais te sermonner au téléphone. Tu l'imaginais frapper ton corps sans vie de colère en t'ordonnant de te réveiller.

Tes 15 ans furent les plus glorieuses, ton père devint plus violent et son fils suivit son exemple ce dernier ne te harcelant pas  sexuellement comme le plus vieux, mais te battant plus ou moins sévèrement.

C'était un jeu pour lui et Billy... du moins ils n'arrêtaient pas de me dire ça.

Tes quinze ans furent tout simplement magnifiques puisque tu pouvais sortir un peu plus, seul si tu le voulais avec un certain couvre-feu, mais il était assez tard pour que tu le vois, Caym, ton premier ami et ton premier amour. Tu te rappelles de la première fois qu'il s'était plaint du fait que sa mère voulait qu'il l'appelle chaque trois heures....  que tu lui avais répondu que tant qu'elle l'aimait pas ça allait... qu'elle ne devait pas être si terrible. Tu avais divaguer sur le fait qu'aimer quelqu'un ça faisait mal, surtout ton père. Caym était figé.

- Mais qu'est-ce que tu dis là? De la manière dont tu le dit … tu parles physiquement ou émotionnellement?

- Euh..., bah physiquement évidemment.

- Oh putain...

Un long silence se fit entendre avant que tu brisas ce dernier.

- C'est pas normal...?

- Pas du tout! Bordel tu vis sur quelle planète!?

Tu m'avais apporté chez toi et je t'avais supplier de ne rien dire alors que tout se bousculait dans ma tête. Tu avais accepter à la condition que je lise une panoplie de livres, des romans parlant d'amour, d'abus et de violence. Je les avait cacher pour que mon père ne tombe pas sur eux, les lisant tranquillement et réalisant à quel point j'étais sale en fait.

Pourtant, cette année là, tu publias un recueil de poème sous un faux nom, étant aidé par Caym qui te corrigeas tout cela et te trouvas une maison d'édition. Ce gamin nourrissait ce qui était bon en toi alors, que de l'autre côté, ton père te susurrait d'être un bon garçon si tu voulais que ton karma soit bon alors que tu crispas sous ses coups de hanches.  La douleur de savoir, de ne rien pouvoir fait te fit bien plus mal qu'être ignorant, mais tu commenças à préparer des plans pour te venger.

- Le karma c'est de la foutaise... la justice par contre, c'est mon mot d'ordre Camillio.

Un sourire apparut sur ton visage alors que tu repensas à cela, à cette belle complicité.

18 ans, les choses devenaient de pire en pire du point de vue familial. Ton père te menaçait de mort lorsque tu ne rentrais pas dormir, le pire dans tout cela c'était qu'il était sérieux. Il t'agressait violemment, sous le regard confus de sa femme qui ferma les yeux sur ce qu'elle voyait, lui disant qu'elle invitait son amant tout en sortant une grande bouteille de vin et terminant dans son lit à attendre cet homme qui semblait bien apprécier la présence de Rose. Cette fois, tu finis presque inconscient, saignant beaucoup trop, mais des médecins discrets te répara en un rien de temps. Tu avais appeler Caym, tu l'avais vu, tu lui avait pris la main comme à ton habitude.

- Tu es ma lumière... tu me permets de ne pas perdre espoir....

- Je vais te dire quelque chose que je ne répéterai jamais.... notre rencontre... C'était peut-être le destin...

Tu souris en l'entendant prononcer ces mots alors que tu lui dis que ce n'était pas son genre de dire ce genre de choses.

Cette soirée, elle restera à jamais gravé dans ma mémoire... Notre premier baisé était mémorable. J'ai découvert le sens de l'amour en te rencontrant... J'aurais préféré passer ma vie avec toi, mais ce combat contre les gens riches qui ne subissent jamais les conséquences de leur actes, c'est ma cause... et si je ne peux pas pas voir ma famille s’effondrer lorsque leurs pitoyables masque de mensonges seront arrachés de leur visage, et bien toi, tu pourras le voir, et tous ceux qui on été abuser par un de ces imbéciles, de ces manipulateurs qui se croient invincible.

19 ans...Tu es sur le toit d'un édifice de quarante étage, prêt à sauté. Tu envoies la lettre d'adieu à ton copain qui a déjà appelé la police en pleurant comme une gamine, te suppliant de ne pas partir, de ne pas le laisser seul, qu'il ne pourrait pas trouver quelqu'un d'autre, qu'il a besoin de toi... Les larmes coulent de part et d'autres des ordinateurs. Tu lui envoies la vidéo qui montre que tu as subit des agressions et un dernier petit mots :

Je t'aime, je t'aimerais toujours, même après la mort...Si je deviens un fantôme, je viendrais te hanter pour te montrer qu'il y a une vie après la mort~  Tu seras à jamais mon sauveur, mon petit intello à moi, mais s'il te plaît... Envoie ça à tous les journalistes, la vidéos et à la police.... Mon portable sera en haut de où je suis... le mot de passe c'est ''doItforHim1012'' désolé, je ne l'ai jamais changé, c'est pour ça...  Je t'aime, mais.... Tu trouveras mieux... ou tu trouveras quelqu'un qui ne sera pas aussi égoïste que moi. Bonne vie~

Tu te levas et tu tombas dans le vide après avoir fermer ton ordi. Tu te remémoras ta vie durant ces brèves minutes et tu sentis un peu la douleur du choc avant de te retrouver dans un endroit que tu ne connaissais pas. Un sourire triomphale  se dessina sur tes lèvres.

- J'avais raison Caym.

Tu marchas pour arriver devant une académie qui t'accueillit à bras ouvert, te laissant un horraire des plus.... peu commun disons, t'assignant une chambre. Tu te fis quelques amis, mais rien de plus, passant le plus clair de ton temps libre à écrire.

Soi réel



Code du règlement: Code validé ♥
Pseudonyme: Abel
Comment avez-vous connu ce forum: Partenaire~
Autre chose ?: Je l'ai déjà dit mais wow le graph'



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test
Grand-maître
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Date de naissance : 01/04/1992
Date d'inscription : 14/06/2015
Age : 32
Localisation : Sous ton lit ~





Grand-maître
test
Sam 25 Juin - 19:56



Fiche validée

Welcome !

J’adore ta fiche ! Ton histoire…le personnage..bref….j’adore tout !!!

Je te valide >>


♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦

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© Aki Epicode



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